La marelle est un jeu qui symbolise la vie, entre l'arrivée sur terre et le départ au ciel. Ce parcours de vie alterne des moments d'équilibre avec des moments de déséquilibre. Le tracé du jeu s'inspire du dessin d'une cathédrale... et Notre-Dame entre en scène !

Dans un Data Center, le glissement (The Shift) vers un monde généré numériquement dans un univers peu soucieux de l'environnement, des enfants font une ronde d'espoir infini.

Même après les moments difficiles, les conflits, les destructions, les pertes... il est toujours possible de prendre de la hauteur et d'avancer !

La figure géométrique dépeint le rapport entre le pentagone et le nombre d'Or, proportion divine de croissance infinie.

Les 5 enfants la traversent tandis qu'en arrière-plan se dessine la silhouette de l'usine sucrière de Cagny, désomais fermée, fin d'une certaine ère industrielle malmenée par les ressources pas si infinies de notre terre.

Dans un décor évocant les ruines de Gaza, trois visions d'un même enfant, portant drapeau suisse ou croix rouges sur les vêtements, et qui apporte sur des cerfs-volants des colombes de la paix.

Sometimes It Snows In April est une chanson qui parle d'amitié.

Les deux amies s'enlacent, tandis que la neige tombe sur les ruines de l'église orthodoxe de Bohorodychne, détruite en avril 2023 par des frappes russes.